Plongée en eaux profondes et bien sombres, voile après une plongée en grande profondeur, épave échouée, scaphandrier, Jules Vernes (pour l’Ile Mystérieuse), etc.
On pense à beaucoup de choses 🙂
Un hublot pour seul contact avec l’extérieur d’un voyageur au long cours, couché dans sa bannette lors d’une quarantaine. Seule ouverture avec l’air frais du large et chargé d’iode qui ravive n’importe quel matelot sur les mers du globe. Seule brèche pour les rayons du soleil qui viennent éclairer les pièces obscures d’un monstre de fer.
Un hublot comme unique liberté d’un prisonnier mis aux fers. Un hublot placé trop haut pour qu’il puisse ouvrir ce rideau qui se dresse entre lui et l’immensité d’une liberté rêvée.
Un hublot pour garder la surface en point de mire quand la plongée se fait trop profonde, que les abysses sont trop froides. Comme une coup de pouce pour faire surface et émerger.
Un hublot au lieu d’une fenêtre car c’est plus agréable d’accueillir la lune en épousant sa forme.
wahouuu quelle littérature m’sieur Pascal… cet écrit accompagne parfaitement le cliché magnifique 🙂
entre ombre et lumière, ouverture vers l’extérieur, vers le large certes mais également vers la vie… il est vrai que ce hublot ainsi présenté laisse place à l’imagination sans fin… superbe 🙂
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Sympa comme photo 🙂
Plongée en eaux profondes et bien sombres, voile après une plongée en grande profondeur, épave échouée, scaphandrier, Jules Vernes (pour l’Ile Mystérieuse), etc.
On pense à beaucoup de choses 🙂
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Très sympa j’aime beaucoup
Bonne soirée
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Un hublot pour seul contact avec l’extérieur d’un voyageur au long cours, couché dans sa bannette lors d’une quarantaine. Seule ouverture avec l’air frais du large et chargé d’iode qui ravive n’importe quel matelot sur les mers du globe. Seule brèche pour les rayons du soleil qui viennent éclairer les pièces obscures d’un monstre de fer.
Un hublot comme unique liberté d’un prisonnier mis aux fers. Un hublot placé trop haut pour qu’il puisse ouvrir ce rideau qui se dresse entre lui et l’immensité d’une liberté rêvée.
Un hublot pour garder la surface en point de mire quand la plongée se fait trop profonde, que les abysses sont trop froides. Comme une coup de pouce pour faire surface et émerger.
Un hublot au lieu d’une fenêtre car c’est plus agréable d’accueillir la lune en épousant sa forme.
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wahouuu quelle littérature m’sieur Pascal… cet écrit accompagne parfaitement le cliché magnifique 🙂
entre ombre et lumière, ouverture vers l’extérieur, vers le large certes mais également vers la vie… il est vrai que ce hublot ainsi présenté laisse place à l’imagination sans fin… superbe 🙂
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Le cliché est percutant sur ce monochrome.
Le travail sur la lumière est vraiment magnifique.
Bonne continuation.
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Ce cliché va bientôt fêter ses cinq ans pourtant il me fait toujours rêver. Pas besoin de chercher dans le compliqué parfois. 🙂
Bonne journée.
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